• Bienvenue sur le continent de Midgard et ses cinq grandes nations. Les deux nations mères : Aosí, la nation qui règne en maître sur toutes les autres, dirigée par un Chancelier, pro-technologie, puis Boreas, son ennemie numéro 1 qui lui est en tout point antithétique et prône la magie dans son absolu. Les trois nations inférieures : Nordri, qui prend - soumise - parti pour Aosí, dirigée par un conseil de Järls, Austri, neutre et sous le joug d'une famille Impériale proche de son peuple... SUITE?
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le lac ne brille plus quand on le remplit de carcasses de voitures [élysium]
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Mar 19 Avr - 0:35
verdandi — Elysium doit son don à l'Esprit de la Guerre, Heddwyn ; celle-ci, en se penchant sur son âme, lui a trouvé les qualités nécessaires pour recevoir sa bénédiction. La Reine de Boréas, de fait, peut potentiellement tout réduire en cendres ; elle porte en son sein une telle force de destruction qu'il n'est pas exagéré de dire qu'elle pourrait constituer une menace sur laquelle on aurait tort de fermer les yeux. Cependant, pareil pouvoir ne vient pas sans contrepartie : celle que subit la Cardinale altère de jour en jour l'équilibre de son psychisme. Pour faire usage de ses fabuleux pouvoirs, elle doit puiser dans les ressources de Verdandi offertes par les piliers. Comme un véritable canon, elle se charge de leur énergie fabuleuse, et la transforme en munitions qu'elle tire avec son corps tout entier. En guise de revers de médaille, le Verdandi inonde ses tissus à chaque communion et met ses nerfs à l'épreuve d'une douleur qu'elle n'imaginait auparavant même pas pouvoir exister. Immergée dans une rivière de poix spirituelle, elle se consume dans le magma de ses fluides transformés en humeurs acides.
De plus, se demande-t-elle tous les jours que les Esprits font, qui est-elle pour décider de qui doit vivre et de qui doit mourir ? Comment doit-elle disposer de ce véritable fardeau, qui la ronge comme un poison violent ?
Peut-être Heddwyn ne se doutait-elle pas qu'en la dotant de pareille force, elle scellait aussi son destin par la malédiction.
Devenue Reine et se croyant nommée parce qu'elle était une arme, Elysium vit dès lors sa propre existence comme la promesse d'une menace de guerre ; le poids de la responsabilité pèse sur ses épaules comme les pierres sur le dos d'un condamné. Ne sachant plus s'envisager que comme un danger pour les autres, incapable de se sentir à l'abri d'une perte de contrôle qui coûterait la vie à quelque de ses sujets, forcée à accepter qu'une décision conjointe venue de l'extérieur pourrait l'obliger à tirer sur les sujets des nations voisines, enfermée dans une diplomatie de conflit froid au coeur de laquelle son coeur n'a aucune importance et où ses mains entortillées de fils se meuvent sous l'impulsion d'événements qui la dépassent totalement, la Cardinale a perdu le sommeil. Le moindre mouvement du quotidien lui coûte une énergie démente. Bientôt, cette situation ne pourra plus durer.
Qu'adviendra-t-il, dans ce cas, si la régente perd le contrôle d'elle-même ?

élysium cardinale, trente-trois ans, rempart de la nation, reine de boréas, nevan

caractère — Sous les pieds d'Elysium le sol tremble sans discontinuer. Il tonne, et souvent la fait tomber.

Autrefois, l'héritière Cardinale était une jeune femme volontaire. Elle se faisait un devoir d'être la meilleure d'entre toutes pour être digne de devenir reine ; quitte à souffrir d'une solitude profonde qui la poursuit encore aujourd'hui, quand elle regarde la rue depuis ses fenêtres et qu'elle y voit les autres coexister sans elle.
Autrefois, autrefois, autrefois, elle voulait se battre pour eux.
Tout est un vaste autrefois.
Le temps n'a pas enfoui son amour inconditionnel, mais il ternit de plus en plus tandis que sa marche l'enfonce dans les profondeurs de la peur. La peur de l'échec, la peur de faire du mal, la peur d'être trop faible ; la peur, tout simplement, de ne pas être à la hauteur de l'ampleur de la tâche.
Tout devient une blessure depuis qu'elle ne dort plus. Parfois elle voudrait qu'on l'assomme, pour s'accorder simplement quelques instants d'inconscience. Mais que valent ces éclipses d'un battement d'oeil quand elles peuvent coûter la vie à un peuple entier ?
En vérité, Elysium aime profondément les siens -mais le manque de sommeil a déformé la nature de ses sentiments, et, quand elle regarde la rue depuis ses fenêtres, elle se surprend à vouloir tous les abandonner.

La colère est une sorte de poison qui prend les veines jusqu'au coeur et qui fait battre la tête comme un boulet de canon. Les pensées veulent sortir, s'extirper de cette gangue solide, exploser au visage des objets de cette haine qui les crée -mais souvent, elles ne trouvent aucun échappatoire, et se multiplient comme une armée parasite dans le cerveau de son hôte.
La Cardinale se sent parasitée. Ses éclairs de lucidité la mettent face à l'obligation de s'envisager comme une ruine ; mais alors c'est la honte qui l'étreint, et elle pleure tout ce qu'elle se donne encore le droit de pleurer, comme pour retarder sa remise en question. Elle devient jalouse, elle devient hargneuse, elle devient haineuse ; elle ne se reconnaît plus, mais doit pourtant afficher à la face du monde le visage d'une femme éternellement fière, figée dans une expression de confiance absolue. Souvent, le plâtre prend et se fait passer pour du marbre.

Mais à mesure que le bateau avance, la Reine a l'impression de rester sur le débarcadère.

Alors son courage s'est mû en frénésie, son amour en fardeau terrible, et sa combattivité en énergie du désespoir. Ne reste qu'une façade de stuc, pour cacher la misère profonde de son instabilité.

Elysium est un paradis perdu ; et, comme tel, elle se transforme en cauchemar.

Son coeur s'est scindé en deux ; de la Reine Cardinale sont nées deux entités distinctes sur lesquelles elle n'a aucune maîtrise. Le tremblement de terre qui l'a fissuré a laissé une large crevasse au dessus de laquelle elle danse comme une équilibriste, perchée sur un fil ténu qui ne la porte qu'à peine ; au moindre déséquilibre, elle prend le risque de tomber dans les abysses et de ne pas en réchapper.

En acrobate introvertie, la souveraine attend qu'on vienne l'extirper de sa prison de pierre.
L'arracher à sa solitude.
L'aimer pour ce qu'elle est et la laisser dormir, dormir dans les bras de quelqu'un qui l'aime, sous les clameurs de son peuple qu'elle désespère de sauver.

histoire — Quand elle détaille sur ses mains la suite de ses veines qui versent le bleu sur ses bras, tout la ramène au fil de sa vie, qui coule comme un fleuve sous les plaques successives de sa peau.
Parfois, elle se regarde dans le grand miroir de sa chambre et laisse la lumière du soleil y venir se mirer, comme pour se dissimuler derrière le contre-jour. Malheureusement, rien n'y fait : ses yeux sont toujours ce qu'ils sont, ses sourcils marquent l'exacte même courbe que le jour précédent, et elle se sait toujours reine désespérément.
Difficile de se compromettre quand on bouillonne de rage.
Boréas, immensité merveilleuse parmi les nations du monde, se pare de ses plus beaux atours pour fêter les Esprits qu'elle adore. Souvent, le pays brille comme un joyau au milieu des déchets ; quand ses deux souverains, chargés de le polir toujours, contemplent leur oeuvre d'un oeil presque fier, tout doit leur sembler si triste, pourtant.
Comment s'émerveiller d'une pièce à laquelle on assiste depuis la régie ?

C'est une chose terrible que de ne plus savoir quoi dire en face d'un panthéon dévitalisé. Devant Elysium se dressent tous les jours les plus admirables contrées de Midgard ; mais elle se sent vivre au coeur d'une immense décharge. Elle est forcée de l'admettre : si la planète était une déchetterie, Nevan serait son plus beau détritus.
La Cardinale a cette sale impression qu'elle a toujours été Reine -ce qui n'est ni tout à fait vrai, ni véritablement faux. Elle ne manqua donc jamais de rien -si ce n'est du plus important. Tout au long de sa vie elle manqua d'amour et de temps -aucun coeur ne se présenta au sien tandis que les instants se chassaient les uns les autres comme s'entretient une guillotine après avoir frappé.
Sa vie lui semble être un pitoyable numéro de cirque où on la force à être le clown blanc d'un auguste au masque de Roi. Aussi n'en dit-elle jamais rien : tout ça, dans sa tête et ses poumons, dans l'air qu'elle respire et les pensées qu'elle en produit, n'est qu'un éternel recommencement, une boucle inéluctable dont les moments les plus terribles sont insensibles à l'élision par le sommeil. Elysium voudrait dormir, dormir pour oublier, dormir pour disparaître, dormir pour s'en aller. Mais elle ne ferme plus un oeil la nuit. Elle se cerne les contours avec la marche des jours et sa santé se dégrade tandis que son humeur s'aggrave.
La Reine ne dort plus : elle plonge dans la déraison. Elle s'immerge dans les pensées négatives qui lui envahissent la tête au jour le jour. Chaque rencontre avec son homologue lui fait perdre davantage le sommeil. Il semblerait que la régente soit anxieuse -il semblerait aussi que tout le monde s'en moque.
Ou peut-être le cache-t-elle seulement très bien.

Quand on la fête, les jours d'Hermia, elle observe avec acuité sa représentation évoluer ; à mesure que les années passent, on l'immortalise de plus en plus triste. Elle ne donne de grain à moudre à personne, pourtant -personne ne se plaint jamais de son règne ; au contraire, il arrive souvent qu'on l'adule et qu'on la loue pour ses choix raisonnables. Pour son sens du compromis et de la compromission.
Plus le temps avance et plus elle les déteste tous.
Elysium voudrait dormir, dormir pour oublier, dormir pour disparaître, dormir pour s'en aller.
Mais elle ne dort toujours pas.
La Cardinale se regarde souvent dans les vitres de la Tour Naoï. Elle sait qu'elle est la seule à voir cette épave sous son véritable jour. Une Reine se doit d'être présentable aux yeux de ses sujets, ne serait-ce que pour les rassurer.

Mais alors, qui rassure la Reine ?

Samnang voudrait partager, mais elle n'en a pas la latitude. Il lui faut toujours réfléchir au bien des autres, quitte à sacrifier le sien -c'est ainsi qu'elle conçoit le rôle de souveraine. Elle donne, mais ne reçoit rien ; et, par dessus tout, elle n'établit aucun échange sincère. Rhâ ne la compendra jamais. Elle est une Cardinale alors qu'il n'était rien du tout. Pourtant, il lui semble qu'il eut tout ce dont elle avait toujours rêvé : de l'affection, et du temps pour grandir. Il n'était pas fils unique ; il a fréquenté l'école : on l'a nommé dans ses vingt-huit ans. Elysium, toujours seule, encloîtrée dans son salon des livres et des ciseaux à la main, choisie à vingt ans à peine, en est réduite à envier un enfant des rues.

Elle qui rêvait désespérément d'être parfaite ne rêve aujourd'hui plus du tout. Depuis qu'on l'a désignée comme Reine, elle réalise tous les jours son erreur ; et alors le sang qui lui traverse les veines lui paraît être une rivière de flammes. Tourmentée par les feux de sa déception, la souveraine croule sous le poids de sa lourde fonction. Elysium Cardinale, Samnang, le Rempart de la Nation, le chevalier qui protège Boréas des forces extérieures, des menaces d'Aosi, des armées infidèles et des malheurs du monde, fatigue. Elle sait qu'elle est une arme avant d'être monarque, et qu'elle devra peut-être un jour mettre les menaces de son peuple à exécution.

Il n'est pas simple d'être une machine de mort.

Alors elle regarde tous les matins le lac à travers les vitres de sa tour royale ; mais il lui semble qu'il tarit jusqu'au fond dès qu'elle pose le regard sur sa surface plane. Tout comme le fil de sa vie lui échappe, le sens des choses se dérobe à ses yeux fatigués : elle qui ne vit que pour les autres aimerait peut-être un jour briser sa procuration ; mais tant que sa tâche lui pèsera autant, il lui faudra sentir les jours et les nuits passer. Elysium aimerait dormir, dormir pour oublier, dormir pour disparaître, dormir pour s'en aller, comme elle le faisait autrefois quand elle était enfant ; peut-être qu'on la laissait toujours seule, mais elle avait tout le loisir de sculpter des paysages oniriques dans sa propre tête, qui lui servait alors de refuge ; mais le jour fatidique de sa nomination l'a précipitée dans les abysses de l'angoisse, et voilà depuis lors qu'elle ne peut plus fuir le vide immense qui lui fait face comme une menace perpétuelle.

Elle qui se pensait emprisonnée dans les salons feutrés de la noblesse de Boréas se sent aujourd'hui enfermée avec le reste du monde, sans pouvoir pour autant communiquer avec lui. La difficulté du rôle de régente est venu appuyer l'interminable torture de savoir qu'on peut marquer l'Histoire par une catastrophe ; rongée par une anxiété lépromateuse, elle s'est murée dans une prison de verre dont elle couvre les murs des ruines de ses nerfs implosés : elle aimerait seulement rêver, rêver, rêver, mais les armes ne rêvent pas et ne dorment jamais. Son destin la promettait à bien autre chose ; quand on l'avait désignée, tous les augures semblaient accorder d'encourageants présages à sa nomination -mais ses épaules ont craqué quand elle a pris conscience de la dépossession que tout ce décorum impliquait. Elle qui craignait déjà d'être destructrice plutôt que créatrice, capable de raser des cités entières en un claquement de doigt, comprit qu'elle devrait peut-être faire feu contre son gré, et plus seulement par inadvertance. Comment se sentir capable de supporter le poids d'une telle culpabilité ? Comment faire comprendre à ses semblables de fuir autrement qu'en leur en faisant un mal qu'elle abhorre ?

Comment un canon peut-il bien dormir ?

Alors, en regardant à travers les fenêtres de sa tour qui donnaient sur le lac, elle étudia les affaires de sa bien-aimée nation ; qui pourrait faire confiance à Rhâ ? À mesure qu'elle le voyait agir, à mesure que le passage du temps dévorait le peu d'énergie qu'il lui restait encore, elle commença à se méfier de lui, de ses manières enfantines et de son impulsivité.
Mais elle n'en dit jamais mot, et se sentit d'autant plus responsable de tout qu'elle n'arrivait plus à croire qui que ce soit.
Elle dut dès lors se cantonner à un rôle de modération pour ne froisser personne et ne jamais révéler l'ampleur de sa haine -quand son homologue prôna l'abandon de Sudri au profit d'Austri, cependant, elle tonna comme un typhon d'été : c'était, de son propre avis, une erreur qui leur coûterait plus tard très cher. En pleine possession de ses moyens ce jour-là et consciente de son rapport ambigu avec la personne de Dawn, qu'elle exècre dans ses bons moments autant qu'elle l'envie dans les plus mauvais, elle prit le parti de vouloir atténuer le virage brutal décidé par le Roi.
Elle aurait voulu tout détruire, comme cette Reine parvenue qui torture à tour de bras. Mais elle le voudrait faire pour protéger son peuple, pas pour en museler jusqu'aux droits les plus élémentaires.
Quand elle regarde au fond des canaux de Nevan, Elysium se demande quels cris la rebelle pousserait si elle la noyait dedans. Quand elle contemple les images du désert de Vestri, tel qu'il est représenté dans les ouvrages de sa grande bibliothèque, elle imagine les ruines qu'elle laisserait derrière elle en tirant sur l'Invulnérable. Cette verrue sur la surface du globe, pour laquelle elle n'avait qu'une profonde compassion, est aussi responsable que le Conseil de sa perpétuelle condition d'arme à feu humaine. La nation infidèle n'a pas robotisé que sa culture : elle a forcé Elysium dans une carapace robotique dont elle ne pourra plus jamais sortir.
Alors, piégée dans sa propre peau, elle traîne les restes de sa gloire passée sur un échiquier politique qu'elle pourrait bien bouleverser.

Isolée du reste du monde, transfigurée par une fonction qu'elle doit incarner toute entière, incapable du moindre contact, il ne lui reste plus qu'à haïr pour espérer subsister. Où qu'elle regarde, elle ne sent plus que l'objet d'une lourde suspicion ; elles les voit, ces vipères du Conseil, qui pèsent son cerveau sur la balance et la soumettent au jugement des yeux des Oracles.
De quoi la soupçonnent-ils exactement ? D'être une mauvaise souveraine ?
Croient-ils simplement qu'elle ne s'en est pas rendu compte d'elle-même ?
Son règne n'est qu'un amoncellement de désillusions qui la rongent et qui la poussent vers des abysses qu'elle craint d'autant plus qu'elles semblent l'attirer dans leurs profondeurs. N'est-elle pas la première concernée ?

Pourquoi ne la soutiennent-ils pas au lieu de l'exécuter ?

Mais où sont-ils tous passés ?

« Tu es une Cardinale et tu deviendras Reine ».

Quand elle détaille sur ses mains la suite de ses veines qui versent le bleu sur ses bras, Elysium se demande si son sang est le même que celui des autres.



feat
KAINE
[NIER]

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Invité
Invité
Anonymous
Mar 19 Avr - 23:18
cc
j'ai fini jcrois bien
xoxo
love
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Invité
Invité
Anonymous
Mer 20 Avr - 21:12
:keur: tu sens la mierde.
J'aime tout.
WALLAH.
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Invité
Invité
Anonymous
Mer 20 Avr - 23:17
slt ma raine
t bel wow
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Admininistratice ▬ Aosí
W. Enya Rhosyn
Admininistratice ▬ Aosí
W. Enya Rhosyn
Feat. Red - Transistor Bénédiction : Cerys
Âge du personnage : Dans la vingtaine avancée
Profession : Propriétaire d'un cabaret dans lequel elle chante avec son band
Orientation sexuelle : Pansexuelle
Mer 20 Avr - 23:44
VALIDATION ♥

GOSH CE PERSONNAGE est rempli d'un potentiel fou ♥️♥️

Je l'aime d'amour, cette souveraine à problèmes. Tant de character development de possible!

Je m'excuse de tous les inconvénients causés par notre incompréhension commune de staffiennes et j'espère sincèrement que tu te plairas parmi nous. Au plaisir de te rencontrer inrp et de te voir faire avancer la trame de Boreas et de Midgard en son entier. ♥️

Amuse-toi bien parmi nous! :luv:


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